-Un territoire de légendes
Benoit Milan, chargé de mission au Parc nous raconte en vidéo 2 légendes emblématiques autour de la Sainte-Baume.
– La Sainte-Baume pourquoi ce nom ? Cliquez pour le découvrir
– La sorcière Maramoya, les Huns et l’éléphant de pierre , à découvrir ici
-La sauvegarde des eaux souterraines
Le Parc conduit une étude ambitieuse sur le thème de l’eau et en particulier sur l’approvisionnement en eau potable. Il est soutenu par l’Agence de l’Eau et de nombreux partenaires. L’objectif, à travers l’étude du milieu, est d’identifier les menaces et de dégager des axes d’action et une stratégie collective de gestion de la ressource pour aujourd’hui et demain.
En 2019, des ateliers de concertation ont été menés à Belgentier. Il s’agit de valider des zones de sauvegarde importantes qui devront être protégées dans les documents d’urbanisme.
-L’atlas de la biodiversité
Conforter la trame verte et bleue et la qualité de la biodiversité sur le territoire, c’est prévu dans la charte du Parc.
A cet effet, des ABC sont en cours de création. Le premier vient de voir le jour, pour la commune de Mazaugues. Il émane d’inventaires citoyens de la biodiversité.
Afin de protéger les espèces et leur habitat naturel, un inventaire et son suivi seront réalisés. L’atlas de biodiversité constitue ainsi une aide à la décision pour les communes, dans leurs actions de protection et de valorisation de leur patrimoine naturel.
Les deux prochains inventaires ABC porteront sur les communes de La Celle et de La Roquebrussanne et devraient paraître cet automne.
-Protéger les chauve-souris
En particulier la Barbastelle d’Europe et le Murin de Bechstein… Deux espèces protégées et rares en Provence. Le Parc de la Sainte-Baume lance donc une étude afin de mieux connaître ces demoiselles à l’échelle du Site Natural 2000.
Il s’agira d’identifier leurs colonies de reproduction. Objectif ? Conseiller les gestionnaires des milieux naturels pour leur préservation.
L’étude portera principalement sur le versant Nord de la Sainte-Baume. Les forêts y sont favorables et accueillantes pour ces deux espèces qui apprécient d’élever leurs jeunes dans les cavités des vieux arbres !
Pour davantage d’informations, un petit clic par ici.